2 mai-1 juil. 2023 Paris (France)

Axe 1. Sujets proposés par la BnF > Histoire du livre et de l’édition

Cf. aussi les thèmes : Art ; Histoire de la BnF et de ses collections ; Histoire des sciences ; Histoire sociale, linguistique

 

Techniques et matériaux de l’enluminure : les sources sur les recettes de pigments

La BnF conserve une trentaine de livres de recettes consacrés à la préparation et l’utilisation des matières colorantes employées dans l’enluminure médiévale. Ces textes constituent une source fondamentale – et souvent inédite –  sur les techniques artistiques anciennes et leur transmission à travers le temps et l’espace. Pour en déterminer le degré d’originalité et de véracité, mais aussi pour tester les possibilités d’applications concrètes, ces recettes doivent être mises en regard avec les analyses physico-chimiques menées sur les enluminures.

Dans le cadre du programme de recherche « La couleur : artefacts, matière et cognition », porté par la BnF (2020-2023), une réflexion a été engagée sur la structuration des données des analyses déjà réalisées. En parallèle, de nouveaux corpus d’analyses sont en cours de traitement. L’analyse des sources textuelles anciennes relatives aux matériaux de la couleur viendra enrichir cette réflexion, en explorant notamment les possibilités d’édition de certains traités et les pistes permettant de lier les données textuelles aux données chromatiques et documentaires de la base en cours de construction. Elle permettra également d’améliorer le signalement de ces sources dans le catalogue Archives et manuscrits.

Volumétrie : une trentaine de manuscrits

Pistes de recherche : histoire des techniques artistiques, histoire du manuscrit et de l’enluminure, histoire des matériaux de la couleur, histoire des textes

Contacts :

Isabelle le Masne de Chermont, directrice du département des Manuscrits

01 53 79 83 22, isabelle.le-masne-de-chermont@bnf.fr

Référent scientifique : Charlotte Denoël, cheffe du service des manuscrits médiévaux

charlotte.denoel@bnf.fr

 

L’édition en hébreu dans l’Occident chrétien du XVIe siècle

La BnF possède un fonds important d’imprimés hébreux, dont environ 300 éditions du XVIe siècle conservées à la Réserve des livres rares. Outre quelques rares impressions d’Istanbul ou de Thessalonique, il s’agit principalement d’éditions vénitiennes, parisiennes et lyonnaises. Ces hebraica regroupent des outils linguistiques (alphabets et grammaires), de nombreuses éditions bibliques, ainsi que des éditions du Talmud et des commentateurs ou des philosophes juifs.

On dispose aujourd’hui de plusieurs outils bibliographiques, grâce aux travaux de Marvin Heller (The Sixteenth Century Hebrew Book, Leyde, 2004) et de Lyse Schwarzfuchs (Le Livre hébreu à Paris au XVIe siècle, Paris, 2004 ; L’hébreu dans le livre lyonnais au XVIe siècle, Lyon, 2008 ; L’hébreu dans le livre à Genève au XVIe siècle, Genève, 2011), mais ces éditions, aujourd’hui rares et généralement mal signalées, demanderaient à être beaucoup mieux décrites, et les exemplaires étudiés également du point de vue de leurs provenances (Bibliothèque royale, collection Michel Le Masle, collection Léonor d’Estampes de Valençay, etc.).

Pistes de recherche : étudier ce fonds en décrivant en priorité les éditions italiennes du XVIe siècle et les éditions parisiennes de la seconde moitié du siècle (complétant ainsi le travail déjà effectué pour les années 1501-1550), et s’attacher à reconstituer l’origine des fonds afin de mieux cerner les voies par lesquelles la connaissance de l’hébreu s’est diffusée dans l’Europe de la Renaissance.

Contact :

Jean-Marc Chatelain, directeur de la Réserve des livres rares

01 53 79 54 50, jean-marc.chatelain@bnf.fr

 

L’édition des romans de chevalerie à Paris au XVIe siècle

Les romans de chevalerie occupent une place de choix dans la production éditoriale en langue vulgaire au XVIe siècle. Les études littéraires qui les concernent sont aujourd’hui nombreuses mais n’en font que plus vivement ressentir le besoin d’un instrument bibliographique décrivant de la manière la plus exacte possible la production parisienne, indispensable complément aux descriptions que propose, pour la ville de Lyon, la base des Éditions lyonnaises de romans du XVIe siècle (1501-1600).

Le travail mettra à profit l’information bibliographique fournie par des instruments tels que le Nouveau répertoire de mises en prose (XIVe-XVIe siècle), Maria Colombo Timelli, Barbara Ferrari, Anne Schoysman et François Suard (dir.), Paris, Classiques Garnier, 2014, ou le site des Archives de littérature du Moyen Âge, afin d’identifier les textes et les grandes branches de leur tradition et de définir un plan de travail qui permette de couvrir le corpus par tranches successives.

Pistes de recherche : effectuer un recensement des éditions existantes, décrire pour chaque texte les relations d’une édition à l’autre, identifier le matériel iconographique mobilisé dans le cas des éditions illustrées, localiser les exemplaires connus dans les collections publiques.

Contact :

Jean-Marc Chatelain, directeur de la Réserve des livres rares

01 53 79 54 50, jean-marc.chatelain@bnf.fr

 

L’histoire de l’illustration dans les livres de cuisine

L’illustration joue aujourd’hui un rôle de premier plan dans les stratégies de communication des grands chefs. Aux époques plus anciennes, déjà, les cuisiniers ont utilisé l'image pour faire reconnaître leur travail et asseoir leur prestige (Bartolomeo Scappi, Opera dell’arte del cucinare, 1570), avant de s’en servir à des fins didactiques à partir du XVIIIe siècle (François Massialot, Le Nouveau Cuisinier royal et bourgeois, 1730). Au fil du temps, ces images se multiplient, se précisent et profitent des progrès techniques (la chromolithographie, par exemple).

Allégories, plans de table, schémas de découpe, résultats des recettes, décors, aliments, ustensiles, mobilier : les images qui ornent les livres de cuisine sont de nature variée. Elles utilisent des technologies qui évoluent au fil du temps et poursuivent des objectifs dont il serait utile d’affiner la typologie. Des rares illustrations présentes dans certaines éditions du célèbre Viandier de Taillevent (XVe siècle) à celles qui habillent avec force créativité les ouvrages contemporains, ce sont aussi des images-témoins qui nous renseignent sur l’histoire culinaire, l’histoire du livre et, plus largement, l’histoire culturelle. Les illustrations ne sont pas systématiquement signées et les auteurs identifiés ne sont pas toujours bien connus : il serait intéressant d’enrichir leurs biographies et de mieux comprendre à quels types d’ouvrages ils ont pu contribuer, parfois aussi en dehors du domaine culinaire. La dissémination de certains motifs, la reprise de certaines images au sein des livres de cuisine ou sur d’autres supports pourront elles aussi faire l’objet de recherches.

Si l’étude portera principalement sur le fonds conservé par le département Sciences et techniques (1875-2021), elle pourra être mise en relation avec d’autres collections conservées à la BnF ayant trait à la gastronomie (littérature gourmande, périodiques culinaires, menus, publicités alimentaires, cartes gastronomiques, web gourmand conservé dans les Archives du web, etc.).

Volumétrie : plusieurs centaines de titres

Pistes de recherche : histoire du livre et de l’édition, histoire de l’art, histoire de l’alimentation. Plusieurs approches sont envisageables : statistique, typologique, prosopographique, etc.

Contacts :

Michel Netzer, directeur du Département sciences et techniques

01 53 79 51 50, michel.netzer@bnf.fr

Référent scientifique : Isabelle Degrange, chargée de collections

isabelle.degrange@bnf.fr

 

Les autrices culinaires et gastronomiques de la fin du XVIIIe siècle à nos jours

Les plus anciens livres de cuisine français connus sont pour la plupart anonymes : lorsqu’ils sont signés, c’est toujours par des noms d’hommes. La Cuisinière républicaine (1794) est le premier traité de cuisine attribué à une femme, Madame Mérigot, sur laquelle des recherches restent à conduire.

Le début du XIXe siècle est marqué par la publication de plusieurs ouvrages signés par des femmes dont l’existence est attestée : Louise-Augustine Friedel, la romancière et féministe Marie-Armande Gacon-Dufour, Aglaé Adanson, Marguerite Spoerlin. A la suite de ces ouvrages, de nombreux traités de cuisine signés de noms de femmes, bien que parfois écrits par des hommes, voient le jour. A la fin du XIXe, plusieurs femmes, à l’instar de Marie Saint-Ange ou Marthe Distel, participent ou fondent des journaux culinaires. C’est parfois à travers la cuisine que les femmes se font progressivement une place dans le monde du journalisme ou de l’édition. L’avènement de grandes figures au XXe siècle, comme Ginette Mathiot, Mapie de Toulouse-Lautrec ou Françoise Bernard, se traduit par des chiffres de vente spectaculaires. Ces autrices restent pourtant peu connues au-delà de leur pseudonyme.

Le travail de recherche consistera à enquêter sur ces ouvrages (livres de cuisine et littérature gastronomique) afin d’en retracer l’histoire, de comprendre à qui ils étaient destinés et qui les a écrits. Il s’agira ensuite d’approfondir la connaissance des autrices identifiées. Si le projet portera principalement sur le fonds conservé par le département Sciences et techniques, il sera étudié en relation avec d’autres collections conservées à la BnF (collections gastronomiques de l’Arsenal ou du département Littérature et art, manuels d’éducation des filles conservés au département Philosophie, histoire, sciences de l’homme, presse culinaire, presse féminine et féministe, etc.). Des recherches complémentaires pourront être conduites au sein des archives publiques ou d’archives privées d’éditeur.

Pistes de recherche : histoire du livre et de l’édition, histoire de l’alimentation, sciences de l’information et de la communication. Plusieurs approches sont envisageables : statistique, typologique, prosopographique, etc.

Contacts :

Michel Netzer, directeur du Département sciences et techniques

01 53 79 51 50, michel.netzer@bnf.fr

Référent scientifique : Isabelle Degrange, chargée de collections

isabelle.degrange@bnf.fr

 

L’histoire de l’édition cartographique en France au XIXe siècle

L’histoire de l’édition cartographique en France au XIXe siècle reste mal connue. Si  la production des grands organismes publics (Dépôt de la guerre, service hydrographique de la Marine) a bénéficié d’une description scientifique précise, tel n’est pas toujours le cas pour les cartes issues du dépôt légal. Ainsi, le fonds « Ge DL19e » du département des Cartes et plans offre de nombreuses pistes de recherche sur les représentations et préoccupations de la seconde moitié du XIXe siècle (1830-1880).

Son analyse pourra se coupler avec des travaux portant sur les cartographes et les éditeurs cartographiques à mener aux Archives nationales. Ce fonds offre un aperçu de l'édition cartographique commerciale, directement reliée à l'actualité politique, coloniale et militaire (guerre de Crimée, conquête de l'Algérie, question d’identité et de frontière, etc.), mais aussi à des phénomènes liés à la révolution industrielle (développement du chemin de fer, urbanisme, etc.). Sa description pour les années 1855-1880 permettra, en outre, sa numérisation et sa mise à disposition de la communauté des chercheurs.

Contact :

Eve Netchine, directrice du département des Cartes et plans

01 53 79 83 69, eve.netchine@bnf.fr

 

Dans l’atelier du relieur : le matériel de trois ateliers parisiens de la première moitié du XXe siècle

La BnF conserve non seulement une collection très riche de reliures d’art, mais aussi, pour quelques grands ateliers, le matériel qui a servi à la réalisation des reliures qu’ils ont produites. La Réserve des livres rares conserve un tel matériel dans trois fonds documentant le travail d’ateliers actifs à Paris dans la première moitié du XXe siècle :

  • le fonds René Kieffer (relieur dont les plaques ont notamment servi à la réalisation de reliures créées par Pierre Legrain) ;
  • le fonds Paul Bonet ;
  • le fonds des fers ayant servi à la réalisation de reliures dessinées par Jules Chadel pour le joaillier Henri Vever.

Pistes de recherche : la tâche consistera à dresser l’inventaire de ces trois fonds de matériel de reliure, à en proposer un classement et à établir les liens nécessaires entre le matériel et les collections de maquettes de reliure également conservées à la Réserve des livres rares.

Contact :

Jean-Marc Chatelain, directeur de la Réserve des livres rares

01 53 79 54 50, jean-marc.chatelain@bnf.fr

 

Formes et enjeux des catalogues d’exposition

Les collections en histoire de l’art de la BnF comportent des catalogues d’exposition et de musées, édités principalement en français et reçus grâce au dépôt légal. Ces collections sont également enrichies par les acquisitions en anglais, allemand, italien et espagnol. Moins étudiés que les catalogues de vente, les catalogues d’exposition témoignent néanmoins de l’histoire de l’art, notamment à la période de la modernité artistique où certains catalogues futuristes se font véritables manifestes et participent à l’historiographie de mouvements artistiques.

À la fois « moment », « monument » et « document », selon Louis Marin, le catalogue a rarement été étudié dans sa matérialité et son histoire. Or, face à la multiplication des publications autour des expositions – petit journal, album, numéros spéciaux de périodiques… –, son étude s’avère nécessaire afin de mieux comprendre la spécificité de ce champ éditorial encore méconnu. Ce projet de recherche, qui concernerait plus précisément la période 1900-1940, pourrait permettre de tracer des pistes en vue d’une exposition, d’une publication ainsi que d’une présentation dans Gallica. Une cartographie de ces fonds pourrait être envisagée au moyen d’outils interactifs en s’appuyant sur les possibilités offertes par le numérique. 

Contact :

Isabelle Le Pape, cheffe du service Art, département Littérature et art

01 53 79 56 35, isabelle.le-pape@bnf.fr

 

Archives graphiques du livre pour enfants (2014-2020)

Le Centre national de la littérature pour la jeunesse (intégré à la BnF en 2008) constitue depuis quelques années une collection de fonds graphiques d’illustrateurs et d’illustratrices majeurs du livre pour enfants, base d’une mémoire de l’illustration contemporaine française, supports d’exposition mais aussi source précieuse pour la recherche sur ces artistes, sur les techniques, l’histoire de l’illustration, etc.

Depuis 2014, il a accueilli au sein de ses collections quatre fonds d’archives graphiques exceptionnels tant par leur contenu que leur ampleur :

  • Georges Lemoine

Grand illustrateur français de livres pour enfants, Georges Lemoine a été le premier à faire don à la BnF d’un ensemble de 174 carnets de travail. De 1956 à nos jours, cet ensemble constitue une source inestimable pour établir la genèse de ses œuvres et plus largement comprendre et écrire l'histoire d'une vie d’artiste. Ils ont fait l'objet d'un inventaire détaillé et précis, réalisé par l'artiste lui-même. Ils sont en cours de catalogage.

  • May Angeli

Arrivé par don en avril 2019, le fonds May Angeli se compose de 711 pièces, dont 515 xylographies, 178 dessins originaux dont certains inédits, 11 matrices bois et 2 matrices lino. Il comprend des épreuves d'artistes, des essais de couleur, des dessins préparatoires, des montages avec calque, etc. Il est représentatif de la carrière de l'artiste par la période couverte, le nombre de volumes représentés (39 ouvrages sur plus d'une centaine parus entre 1961 et 2019), la variété des techniques employées et des stades de travail représentés. Il a fait l'objet d'un inventaire complet, d'une numérotation des planches et  d'un classement par œuvres. Son traitement est en cours, et attend estampillage et catalogage.

  • Jacqueline Duhême

En décembre 2019, c’est au tour de l’illustratrice et journaliste Jacqueline Duhême de donner un ensemble de documents comprenant les dessins et les calques originaux ayant servi à la publication de son autobiographie Une vie en crobards (2014). Se composant de 188 dessins sur papier kraft, mis en couleurs à l’aquarelle et à la gouache, de 191 textes manuscrits sur calque, ainsi que d’environ 1500 documents préparatoires, l’ensemble constitue une exceptionnelle source d’étude sur cette autrice à la trajectoire hors du commun.

  • Elzbieta

À la suite du décès d'Elzbieta en octobre 2018, son époux Hassan Jouad a accompli son souhait de donner à la BnF un ensemble de documents comprenant un total de 187 planches et de 9 carnets. Ces planches de dessins et de collages font toutes partie d'ouvrages publiés chez Pastel / L'école des Loisirs ou aux éditions du Rouergue, excepté les carnets de dessins originaux et non publiés. Il s’agit là encore d’une plongée tout à fait exceptionnelle dans la genèse d’une œuvre.

  • Sara

Sara a fait don à la BnF d'un ensemble représentatif de son oeuvre à travers les planches originales en papier déchiré de vingt livres.

  • Charlotte Mollet

L’illustratrice Charlotte Mollet a fait don à la BnF d’un important ensemble de dessins, linogravures, matrices et documents préparatoires de plusieurs de ses albums, publiés notamment dans la collection Pirouette chez Didier jeunesse, collection pionnière dans l’édition à destination des tout petits dans les années 1990. Le don comprend également un ensemble conséquent autour de l’album Navratil, publié au Rouergue en 1996 avec Olivier Douzou.

Contact :

Romain Gaillard, responsable du CNLJ, département Littérature et art

01 53 79 55 01, romain.gaillard @bnf.fr

 

L’édition pédagogique multisupports

Le dépôt légal des documents multisupports a été institué en 1975 : il s’agissait de documents composites, majoritairement édités dans le domaine pédagogique. Le fonds concerné par cette étude comprend aussi bien des mallettes pédagogiques, des brochures accompagnées de diapositives que des CD-ROM d’autoformation. La BnF est ainsi riche d’un fonds de logiciels éducatifs reçus au titre du dépôt légal et enrichi de dons (par exemple, le fonds du Centre d'études des systèmes et des techniques avancées, CESTA, donné par la logithèque de la Cité des sciences et de l'industrie en 2003). Cet ensemble témoigne du volet pédagogique de l’édition multimédia, présent dès ses origines, et reconnu et encouragé par les pouvoirs publics dès le début des années 1980 avec le plan informatique pour tous qui introduisit l’ordinateur dans les écoles. Il entendait mettre à profit les possibilités offertes par ce nouveau medium pour favoriser l’apprentissage en répondant aux nouvelles préconisations pédagogiques en faveur de la participation active.

Volumétrie : plusieurs milliers de documents répartis entre les cotes multimédias multisupports et documents électroniques.

Pistes de recherche : histoire des méthodes pédagogiques, histoire de l’interactivité, histoire de l’édition pédagogique multimédia en France.

La recherche peut porter sur l’histoire éditoriale ou sur des thèmes spécifiques comme les programmes scolaires, l’apprentissage des langues ou la formation des adultes. Dans le domaine du multimédia pédagogique, le chercheur s’intéressera aussi bien à une analyse des mécanismes d’apprentissage retenus qu’aux acteurs de cette production où voisinent grands groupes d’édition et simples particuliers souvent membres du corps enseignant.

Contacts :

Emmanuel Aziza, directeur du département Son, vidéo, multimédia

01 53 79 53 00, emmanuel.aziza@bnf.fr

Référent scientifique : Gilles Rodrigues, chef de section documents multimédias multisupports

01 53 79 53 97, gilles.rodrigues@bnf.fr

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